2013. aug. 9.

La liberté se définie-t-elle comme un pouvoir de refuser?


(2011. október)

Les mots. On se pose la question s’ils rendent la communication facile ou difficile. La caractéristique la plus simple de l’homme c’est qu’il peut parler, il peut s’exprimer par des mots dans toutes les situations.
Parmi eux certains sont simples quand on veut expliquer leur sens mais aussi de mystérieux. Il y a des mots qu’on peut définir á l’age de dix ans et il y a ceux qui pour qui on n’a pas trouvé de définition depuis que l’homme existe – mais on les utilise plusieurs fois par jour. Les gens qui avaient reconnu ce fait étaient des sages, surtout des philosophes comme Socrate qui reconnaissait un manque de sagesse dans sa vie : « Je ne sais qu’une seule chose c’est que je ne sais rien. »
En Hongrie quand quelqu’un prend quelques jours de congé, il dit: « Je prends ma liberté. » Il ne connait pas la vrai sens de sa phrase, mais il s’en rend compte quand son téléphone sonne la 10e fois pendant « sa liberté » parce que ses employés ne se débrouillent pas seuls et il se pose la question :  « C’est quoi la liberté ? Est-ce qu’elle existe ? »
Qu’est-ce que la liberté ? On ne peut pas la définir exactement mais tout le monde en a un avis. Selon les Chrétiens Dieu nous a donné la liberté pour choisir entre le bien et le mal. Notre décision influence toute notre vie, nos actes. Pour prendre une décision on doit etre responsable.
Si on réfléchit réellement on peut dire qu’il a des choses qu’on veut faire mais qui sont impossibles. C’est le cas absolu. L’autre cas est le cas particulier qui se compose des actes qu’on peut faire. Il y a une grande différence. C’est impossible de manger de la tarte – qui est le souhait – s’il n’y a que du pain et du beurre comme nourritures possibles. La libération donc est une chose qu’on pratique dans le cas particulier. On dit que la liberté augmente avec la connaissance. Mais si on connait de plus en plus de choses, on sait de plus en plus qu’il y a de meilleures choses qu’on pourrait avoir ou faire. Comme la tarte. Comme ça la souffrance augmente aussi. Dans ce cas, la liberté n’est pas égale au bonheur.
En revanche, la liberté contient l’occasion de refuser. C’est surtout une question dit judiciaire : on a le droit de décider de ne pas accepter, ne pas faire quelque chose. L’etre humain a presque toujours cette possibilité. On a l’éthique, on a des pensées – qui nous font de nous des etres humains – et des conceptions. Nous avons une identité. On essaie de faire des choses moralement bonnes – qui lui conviennent – et on refuse celles qui sont contre sa conception. Comme ça l’homme individualisé se forme, le monde devient « coloré ».
On peut toujours choisir et il faut le faire. La délibération est le fait de réfléchir sur de différents éléments ou possibilités qui lui sont donnés pour choisir le meilleur. La vie est pleine de situations oú on doit faire le choix : á la cantine – entre les desserts –, sur le portable – entre les musiques –, ou á la boutique – entre les vetements. Mais on a toujours une derniere possibilité, le dernier choix : on n’achete pas de vetements, on n’écoute pas de musique, on ne mange pas de dessert. On le refuse.
Si on met quelqu’un dans une salle qui est toute couverte des miroires, il lui semble qu’on l’oblige á se regarder. Il peut accepter sa situation et se regarder partout dans la salle ou bien il peut le refuser en fermant les yeux.
On vit avec le pouvoir de refuser pour garder son identité en résistant contre l’influence principale – et en acceptant l’autre. Grace á ce pouvoir on se sent plus libre. Mais est-ce cette liberté est vrai ? Est-ce que le refus est absolu et total ?
Non. Ce n’est que le sentiment faux de la liberté. Par exemple, celui qui ne fume pas résiste contre l’influence des fumeurs, mais accepte l’influence des non-fumeurs, accepte leurs idéologies ou meme leurs regles.
Á mon avis, le refus absolu n’existe pas. S’il existait, il ne serait pas égale au bonheur. Ce qui inluence sa décision c’est la frontiere entre le bien et le mal sans lequels on se perdrait. On ne verrait pas ce qui on est, oú on va. S’il y a une frontiere dans sa vie qui sépare le bien et le mal qui dit : « Tu peux aller jusqu’ici », on sait oú on est, sur quel coté de la frontiere. Ça lui donne le sentiment de la sécurité. On est comme les enfants qui jouent dans le jardin : on fait du bien et du mal, on peut etre sur n’importe quel coté, mais on regarde toujours la frontiere por qu’on sache : on est dans un lieu connu.

Peut-etre, on n’a pas besoin de la liberté absolu. Peut-etre, elle n’existe pas dans la forme que la plupart des gens veulent posséder. Peut-etre, c’est notre chance.

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